2 janvier 2016. Le ministère de l’intérieur saoudien annonce l’exécution de 47 personnes pour « terrorisme ». Fait partie des personnes exécutées un dignitaire chiite, figure de proue de la contestation anti-régime, Nimr Baqer Al-Nimr. Dès l’annonce de son exécution, des milliers d’iraniens, la plupart manipulés par les pasdarans (services secrets), descendent dans la rue puis saccagent l’ambassade d’Arabie Saoudite. Ce qu’il faut souligner c’est que cette explosion de violence n’est en rien spontanée. Si les autorités iraniennes le souhaitaient, le saccage de l’ambassade aurait été évité. La « république des mollahs » voulait envoyer un message clair au régime saoudien. L’exécution d’une personnalité religieuse chiite est une ligne rouge pour l’Iran dans un contexte de « guerre froide » entre les deux pays. Les saoudiens ont répliqué en poussant les pays sunnites à rompre leurs liens diplomatiques avec l’Iran. Cette escalade des tensions au Moyen-Orient s’inscrit dans une montée des périls pour la monarchie saoudienne qu’ils soient d’ordre économiques, politiques ou diplomatiques. Ces menaces représentent un risque existentiel pour la monarchie.

Quels sont les risques pesant sur le pays ? Quelles sont les stratégies des saoudiens pour y faire face ?

Dans cet article je distinguerai trois risques majeurs pesant sur le régime des Al-Saoud. Le premier facteur de risque concerne l’économie saoudienne qui est dans un état extrêmement  préoccupant (1ère partie). Le deuxième facteur est lié à la politique intérieure minée par des luttes de pouvoir et des tensions croissantes (2ème partie). Enfin, la politique extérieure du royaume est un autre motif d’inquiétude dans une région en proie à un chaos qui semple de plus en plus incontrôlable (3ème partie).

Une économie qui se dirige tout droit vers la faillite

L’économie saoudienne est en crise. Selon un rapport de FMI publié en Octobre 2015, à ce rythme, le royaume pourrait être en faillite d’ici 2020. Avant d’expliquer les causes de l’effondrement de l’économie, il nous faut en analyser les principales caractéristiques.

Depuis la découverte d’immenses réserves pétrolières dans le désert d’Arabie au cours des années 30, les hydrocarbures jouent un rôle central au sein de l’économie saoudienne. Le pays possède 16% des réserves pétrolières mondiales. Il en est également le premier exportateur mondial. La dépendance au pétrole est encore plus prégnante si l’on juge les capacités financières du régime. Ainsi, les ressources pétrolières assurent 87% des revenus budgétaires, 42% du PIB et 90 % des recettes d’exportation. Dès lors que les prix du baril ont augmenté suite au double choc pétrolier de 1973 et de 1979, l’Arabie Saoudite a connu un boom économique et financier considérable.

Or, cette expansion économique s’est brisée depuis quelques années. Les marchés pétroliers sont, en effet, extrêmement volatils, les prix du baril passant de 110 dollars en 2011 à 50 dollars aujourd’hui. Le FMI estime que ce prix se stabilisera autour des 60 dollars à l’horizon 2020. Cette chute des cours s’explique du fait de deux facteurs. D’une part, le ralentissement de la croissance en Chine et dans les pays émergents a réduit la demande disponible poussant à la baisse les prix mondiaux. D’autre part, l’accélération de la production de pétroles non-conventionnels comme le pétrole de schiste en Amérique du Nord a augmenté l’offre. Etant premier producteur mondial avec près de 10 millions de baril produit par jour, l’Arabie Saoudite aurait pu adapter sa stratégie pour faire monter les prix. Au contraire, les saoudiens ont joué la carte de la baisse des prix dans le but de maintenir ses parts de marché vis-à-vis des pétroles non-conventionnels et d’affaiblir le retour de l’Iran dans le concert des nations.

prix du baril de pétrole

Cependant, cette stratégie est sur le point de montrer ses limites. Les prix sont, en effet, inférieurs au prix d’équilibre budgétaire (Break-even point) ce qui conduit le royaume à assumer un déficit budgétaire de près de 80 milliards de dollars soit 18% du PIB. Ce déficit contraint le pays à entamer ses réserves, estimées à 650 milliards de dollars, et à mettre en œuvre une cure d’austérité sans précédent. Ainsi, les subventions sur l’électricité, l’eau et l’essence se sont vues fortement réduites. De même, une partie des entreprises publiques ont vu leur capital ouvert au secteur privé (5% pour Saudi Aramco la compagnie pétrolière du royaume). Le royaume, en réalité, paie un manque de diversification de son économie qui le piège dans ce que les économistes nomment « la maladie hollandaise » (Dutch Disease) (1). Privé de ses ressources financières, le régime saoudien est confronté à une remise en question profonde de son système productif ce qui ne manquera pas de provoquer des remous au sein d’une population habituée à la rente pétrolière et à l’oisiveté (près de 80% de la main d’œuvre est d’origine étrangère). Cette situation est d’autant plus problématique qu’un nombre important de jeunes diplômés, estimés à 10 millions par le FMI, vont rentrer sur le marché du travail d’ici 2020. Les autorités saoudiennes l’ont d’ailleurs bien compris, eux qui ont présenté un plan de diversification de l’économie intitulé « Vision 2030 » qui a pour objet d’investir 140 milliards de dollars dans la santé, les transports et les nouvelles technologies.

déficit budgétaire saudi arabia

La situation économique est donc préoccupante à plus d’un titre. Or, contrairement aux « printemps arabe » de 2011, en cas d’explosion sociale, le royaume n’aura plus la possibilité d’utiliser la rente pétrolière pour acheter la paix.

Une monarchie fragilisée sur le plan interne

La monarchie saoudienne repose sur l’alliance des tribus, et ce depuis le 18ème siècle, début de la dynastie des Al-Saoud. Or, ce jeu complexe entre tribus mine la cohésion interne du royaume et menace de dériver en véritable guerre de succession.

Le royaume repose sur un jeu d’alliance complexe entre les tribus. Dans le but de conquérir des territoires, le fondateur de la monarchie Abdel Aziz Ibn Seoud (1875-1953) a multiplié les alliances tribales, le plus souvent par mariage, offrant des postes clés aux leaders tribaux et une répartition de la rente pétrolière en fonction de la puissance des tribus. Or, ce type d’alliance a entrainé la multiplication du nombre d’héritiers de la couronne. Le roi Ibn Seoud a eu la bagatelle de 53 fils. Pour départager les héritiers du trône, Ibn Seoud a adopté le mode de succession tribal qui consiste à placer son fils aîné comme héritier. Dès lors que celui-ci meurt, le pouvoir n’est pas transmis à son fils mais à son frère le plus puissant, puissance déterminée par ses soutiens dans l’establishment militaire et religieux. Ce système a pour effet d’accentuer la gérontocratie des élites dirigeantes. Ainsi, au roi Abdallah mort à 90 ans en 2015 lui a succédé le roi Salman, 79 ans. Depuis l’accession au trône de Salman, les règles de succession ont été modifiées puisque c’est le roi qui choisit son héritier sous réserve d’une validation par le « conseil d’allégeance », organe contrôlé par les chefs tribaux. Ce mode de succession a permis d’écarter le prince Moqren comme 1er héritier au profit de Mohamed Ben Nayef, l’actuel ministre de l’intérieur. Surtout, il place le fils du roi Salman, Mohammed Ben Salman, comme numéro 2 dans l’ordre successoral.ben salmane Ce dernier, ministre de la défense âgé de 30 ans, compte bien dépoussiérer le royaume économiquement et politiquement. Très influent auprès de son père, il place des technocrates formés en Occident à des postes clés au détriment du partage tribal traditionnel comme l’a montré le récent limogeage du ministre du pétrole Ali Al-Naimi en poste depuis 30 ans. Plus grave, Ben Salman incarne la prépondérance du clan des Soudayri qui truste l’ensemble des postes clés ce qui ne manque pas de susciter des tensions internes à la famille Saoud. De ce point de vue, le remplacement du prince Moqren, membre de la tribu des chammar, rivale des Soudayri, comme premier héritier a représenté l’accaparement du pouvoir par ces derniers. Par conséquent, les rivalités claniques et tribales sont en train de miner la cohésion interne de la monarchie ce qui risque d’entrainer un fort mécontentement parmi les tribus, traditionnelles piliers de l’état saoudien.

La montée des menaces extérieures

En difficulté sur le plan économique et en proie à des divisions internes, la monarchie voit se multiplier les menaces extérieures. L’Arabie Saoudite doit ainsi faire face à la résilience de l’influence iranienne dans le monde arabo-musulman ainsi que l’émergence d’un terrorisme islamique qui a en grande partie échappé à son contrôle.

Il est nécessaire de souligner, dans un premier temps, que les relations entre l’Iran et l’Arabie Saoudite ont longtemps été très cordiales. A partir de 1979, la révolution « Khomeyniste » remet en cause la relation privilégiée entre les deux pays. D’une part, la révolution iranienne s’est traduite par la prise de pouvoir d’hommes se revendiquant clairement d’un messianisme chiite, considéré comme une hérésie de l’Islam par les saoudiens. D’autre part, le nouveau régime iranien va s’évertuer à contester l’influence saoudienne dans le monde arabe. Dans ce but, les iraniens ont joué sur deux leviers. Le premier reposait sur l’idée que la révolution iranienne provoquerait une onde de choc suscitant un élan révolutionnaire contre les régimes conservateurs dans tout le monde arabe.

IRAN REVOLUTIONLe second levier visait à établir un véritable leadership religieux islamique en jouant notamment sur l’ambiguïté des relations entre l’Occident et les monarchies sunnites. La virulence des discours anti-occidentaux et la fatwa appelant à la mort de Salman Rushdie (1989) du régime iranien doivent être vues à l’aune de cette concurrence pour le leadership sur le discours islamique. Les saoudiens vont répliquer en utilisant une stratégie décrite par Gilles Kepel : « Le containment anti-iranien jouera très tôt sur deux registres : souligner la spécificité chiite du phénomène pour rendre l’identification plus malaisée en milieu sunnite, et, ultérieurement, le réduire à un avatar du nationalisme persan. » Pour mener à bien cette stratégie, les saoudiens vont utiliser leur trésor de guerre financier issu de la rente pétrolière pour exporter leur vision wahhabite (2) de l’Islam partout dans le monde. Les saoudiens vont ainsi financer des mosquées, des associations islamiques et vont former via l’université de Médine des dizaines de milliers d’imam qui une fois retournés dans leur pays vont prêcher la doctrine salafiste et wahhabite. Cette stratégie réussira au-delà des espérances. La vision littérale et rigoriste de l’Islam prônée par le wahhâbisme connaît ainsi une expansion croissante dans le monde musulman et en Occident au détriment des islams plus traditionnels. De plus, l’Iran abandonnera petit à petit toutes velléités d’hégémonie sur l’Islam se faisant plutôt le porte-parole des populations chiites minoritaires au sein du monde musulman même si l’Iran y est davantage vu comme un allié que comme un modèle à imiter. Dans cette guerre froide entre les deux pays, l’Iran connaitra une série de succès extérieurs étendant son influence au Liban via le Hezbollah puis en Irak après la chute de Saddam Hussein (2003). La Syrie, dominée par le clan Assad d’origine alaouite, proche des chiites et allié de l’Iran, devient dès lors un enjeu central pour les saoudiens qui arment et financent des groupe rebelles d’obédience salafiste comme Jaich-Al-Islam, Ahmr Al-Sham ou le front Al-Nosra. De même, le conflit au Yémen a vu pour la première fois le royaume intervenir militairement hors de ses frontières frappant les rebelles houthistes qui se réclament du Zaydisme (3), branche minoritaire du chiisme. Les saoudiens sont donc de plus en plus obnubilés par le conflit avec l’Iran d’autant plus que l’allié et protecteur américain a signé un accord sur le nucléaire consacrant le retour en grâce de l’Iran dans la région (accord du 14 juillet 2015).

Or, la politique anti-iranienne aura une conséquence inattendue qui va se traduire par l’avènement d’un terrorisme global qu’on qualifie à juste titre de « salafo-djihadiste ». En effet, comme l’a remarquablement décrit Gilles Kepel, il existe une très grande porosité entre les milieux salafistes (4) et les milieux djihadistes. Si la grande majorité des salafistes sont quiétistes et non violents, la totalité des djihadistes sont des salafistes. En exportant cette vision littéraliste de l’Islam, l’Arabie Saoudite a joué donc un grand rôle dans l’expansion du terrorisme islamique à l’ensemble du globe. De plus, pour contrecarrer la révolution Khomeyniste les saoudiens n’hésiteront pas à sponsoriser le Djihad afghan contre les soviétiques créant une élite djihadiste transnationale (voir mon article Aux origines du Djihad). La première grande organisation terroriste, le « bureau des services » qui deviendra par la suite Al-Qaeda, a été fondé par deux hommes proches de la famille royal saoudienne Abdallah Azzam et O. Ben Laden. Or, la première guerre du golfe entrainera l’émancipation de ses groupes échappant au contrôle des saoudiens. En effet, peu après l’invasion du Koweït(1990) par Saddam Hussein, le roi Fahd d’Arabie Saoudite fait appel à la protection américaine utilisant les accords du Quincy (5). L’arrivée de centaines de milliers de soldats américains sur la terre des « lieux saints de l’Islam » entrainera la rupture entre Al-Qaeda et la monarchie. L’Arabie Saoudite est donc confrontée à un dilemme inextricable. Etant dépendant de la protection américaine, le pays est de ce fait considéré comme « impie » par des groupes djihadistes, mais les saoudiens ont néanmoins besoin de ces groupes pour contrer l’influence iranienne, d’où une impression de double jeu permanent qui commence à agacer les chancelleries occidentales. L’attitude face à l’Etat Islamique est à cet égard symptomatique de cette stratégie à haut risque. attentat medineD’un côté, Daesh, tourné vers un islam d’inspiration wahhabite, sert les intérêts saoudiens en affaiblissant les gouvernements irakiens et syriens proches de l’Iran. D’un autre côté, l’Etat Islamique appelle les musulmans à renverser le régime saoudien n’hésitant à faire des attentats au cœur du royaume (Médine, Djedda). La situation est d’autant plus préoccupante que la propagande de Daesh trouve un certain écho parmi la jeunesse saoudienne frustrée par l’absence de perspectives d’ascension sociale dans un royaume où tous les postes officiels sont accaparés par une seule famille depuis 1 siècle. De plus, son discours extrémiste ne rebute pas une population éduquée selon une vision ultra-rigoriste de l’Islam, l’Arabie Saoudite étant un « Daesh qui a réussi » comme l’indique justement l’écrivain Algérien Kamel Daoud.

La monarchie se retrouve donc prisonnière de ses choix. Confrontée à une véritable guerre froide avec l’Iran, les saoudiens ont favorisé l’essor d’un terrorisme islamique se réclamant de sa vision littéraliste de l’Islam. La guerre du golfe va mettre à jour la profonde contradiction du pouvoir saoudien. Etant dépendant de la protection américaine, les Saoud ont vu ces mêmes groupes terroristes se retourner contre eux accusant le régime saoudien d’être un agent de l’Occident « impie ».

 

Confrontée à une dégradation rapide de son tissu économique et à une montée des rivalités tribales, la monarchie saoudienne apparaît plus affaiblie que jamais pour affronter les défis majeurs qui traversent le Moyen-Orient. La menace la plus importante aux yeux des saoudiens n’est pas Daesh mais l’Iran. Depuis 1979, la « république des mollahs » représente la principale source d’inquiétude à Riyad poussant les saoudiens a favorisé l’essor d’un radicalisme sunnite. Ce dernier a échappé en grande partie au contrôle saoudien dans les années 90 donnant naissance à des organisations terroristes transnationales comme Al-Qaeda puis Daesh. Depuis 2015, l’Etat islamique multiplie les attentats dans le royaume ce qui oblige les saoudiens à revoir leur ordre de priorité. La nomination comme premier héritier du prince Mohammed Ben Nayef, l’homme qui a réprimé sévèrement les réseaux d’Al-Qaeda dans les années 2000, a d’ailleurs été saluée par l’ensemble des capitales occidentales comme un signe de fermeté à l’égard du terrorisme islamiste. La rupture des liens diplomatiques avec l’Iran en début d’année est plus inquiétante car elle s’opère au moment où le pouvoir iranien cherche à normaliser ses relations avec l’Occident. Or, seul un « traité de Westphalie » délimitant les zones d’influence entre les deux pays est en mesure de stabiliser le Moyen-Orient. Rétablir une relation durable entre l’Iran et l’Arabie Saoudite doit être, de mon point de vue, l’objectif principal des diplomaties occidentales, russes ou chinoises si l’on veut mettre un terme à la « guerre de trente ans » qui déchire le monde musulman.

 

 

(1) L’expression de « maladie hollandaise » désigne, en théorie économique, ce qui est arrivé aux Pays-Bas à la suite de la découverte d’importants gisements de gaz en mer du Nord dans les années 1970. La « manne énergétique » qui s’est alors déversée sur la Hollande, outre un impact inflationniste, a eu des effets d’éviction sur le reste de l’économie du pays.

(2) Mouvement fondé par Mohammed Ben Abdelwahhab au XVIII ème siècle qui préconisait une purge des pratiques populaires telles que le « culte des saints » qu’il considérait pour sa part comme une forme d’idolâtrie (shirk),des impuretés et des innovations dans l’Islam (bid’ah). En 1745, il passa un pacte avec un chef local nommé Mohammed Ibn Saoud, offrant à celui-ci son obéissance politique et lui promettant que la protection et la propagation du mouvement wahhabite entraînerait pour celui-ci « la puissance et la gloire » et le gouvernement sur les « terres et les hommes ».

(3) Mouvement chiite qui considère le 5ème Imam Zayd Ibn Ali, descendant de Mahomet, comme le dernier imam héréditaire. Contrairement aux autres groupes chiites, les Zaydites ne croient pas à la divinisation et à l’infaillibilité de l’imam.

(4) Les divers courants salafistes se perçoivent comme un mouvement de renaissance de l’islam, par un retour à la foi des origines, celle des « pieux prédécesseurs » (Salaf). Les salafistes prétendent ainsi imiter Mahomet en tout, y compris dans leur façon de s’habiller ou de manger. Ils rejettent tout ce qu’ils perçoivent comme des interprétations humaines postérieures à la révélation de Mahomet. De ce point de vue, ils sont assez proches de la pensée wahhabite.

(5) Accord signé en 1945 entre Roosevelt et Abdel Aziz Ibn Seoud qui prévoit  la protection inconditionnelle de la famille Saoud et accessoirement celle du Royaume contre toute menace extérieure éventuelle. En contrepartie, le royaume garantit l’essentiel de l’approvisionnement énergétique américain. L’accord a été renouvelé en 2005 par le président Bush pour 60 ans supplémentaires.

2 réflexions sur “Arabie Saoudite: un royaume en pleine tourmente

  1. salut quentin

    j’espère que ta fin de stage s’est bien passée et que tu auras apprécié ton passage chez Eurovia bon courage pour ton déménagement profites bien de tes vacances maintenant et fonce pour ta dernière année j’ai pas eu le temps de te laisser mes coordonnées avant de partir Je te donne mon adresse e mail pour qu’on reste en contact doris.bajal@live.fr

    a bientot

    Doris

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    1. Salut Doris, merci beaucoup!
      j’ai sincèrement beaucoup apprécié ce stage qui m’a permis de découvrir plein de bonnes choses et des personnes formidables. Je te remercie pour m’avoir aidé à m’intégrer rapidement dans l’entreprise. Je ne manquerai pas d’envoyer de mes nouvelles à toute l’équipe. Ce fut un réel plaisir d’avoir fait ta connaissance.
      Bonne continuation pour la suite
      A bientôt
      Quentin

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